Ce bateau serait-il sans défaut?


Bateau éprouvé et équilibré, le VIA 42 n’échappe pourtant pas à la règle : nobody is perfect ! Deux points méritent d’être signalés :
  • la manœuvrabilité au moteur en marche arrière est réduite et les créneaux dans une marina encombrée nécessitent du doigté et une bonne habitude du bateau. En particulier, on utilise plus l'évolutivité en marche avant, le coup de fouet du moteur associé à la dérive avant basse permettant des rotations presque sur place ; cela dit, les marinas se font rares quand on quitte les itinéraires fréquentés et puis … on est tellement mieux au mouillage !
  • comme tous les dériveurs, le Via 42 n’aime pas faire du près serré dans le petit temps. Trois options au choix : laisser porter, attendre le vent ou … lancer le fameux "spi suédois" (Volvo Penta).